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En matière de qualité de l’air, tous les polluants dont l’émission est liée au trafic sont en nette diminution (entre -20 et -50% de dioxyde d’azote et entre -30 et -75% pour l’es oxydes d’azote). Les émissions de dioxyde de carbone, gaz à effet de serre, diminuent également de 30 %. Par contre la diminution des particules fines est moins nette car leurs sources sont plus nombreuses.
Plus d’infos sur le site d’[Airparifhttps://www.airparif.asso.fr/actual...
Concernant le bruit, on observe une très forte baisse des émissions sonores d’origine humaine. En cause : la diminution drastique des trafics routier, aérien et même ferroviaire, l’arrêt des chantiers et la fermeture de nombreuses activités et lieux festifs. Résultats : entre 60 et 90% d’émissions sonores de moins le long des axes routiers, presque aucun bruit venant de l’activité aéroportuaires et une très nette baisse du bruit en lien avec la circulation ferroviaire.
Plus d’infos sur le site de Bruitparif
En matière de biodiversité, on observe la présence d’espèces animales dans des espaces habituellement non occupées par elles en raison de la présence d’activités humaines ou de nuisances sonores. Les plantes sont plus présentes également du fait de la diminution de la gestion et de la circulation tant pédestre que routière. Par contre, qu’en est-il de la survie des espèces animales qui se sont développées en parallèle du développement des activités humaines ? Beaucoup de données manquent à ce jour pour établir un bilan, c’est pourquoi les chercheurs ont besoin de vous pour les récolter grâce aux sciences participatives
(cf. encart ci-dessus).
Plus d’infos sur le site de l’Agence Régionale de la Biodiversité